De plus en plus d’incubateurs au service des jeunes start-up innovantes

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Une femme Senegalaise travail sur son ordinateur, start-up

Une révolution digitale est en marche au Sénégal, qui est devenu un des pays d’Afrique le plus attractif par son ecosysteme Tech.

Chaque semaine, de nombreuses start-up ou jeunes pousses voient le jour et si les incubateurs se multiplient aux quatre coins du monde et notamment en Afrique subsaharienne, le Sénégal se place à la tête du podium en créant le plus grand centre d’incubation d’Afrique de l’Ouest.

Ces dernieres années ont été marquées par une forte dynamique entrepreneuriale grâce à une politique résolument tournée vers la jeunesse et la création d’entreprise.

Accompagner les start-up

Pour accompagner et aider les jeunes startup à se développer, un programme ambitieux a été mis en place : le concept d’entreprenariat rapide, qui comme son nom l’indique, à pour but de créer des PME en 24 à 48h.

Trois types d’accompagnements sont proposés en fonction du projets de chacun avec des montants bien distincts (allant de 65 800 Fcfa à plus de 196 788 000,00 Fcfa). Des prets avec des financements directs sont distribués en priorité aux femmes et aux jeunes agés de 18 à 40 ans, pour une dizaine de secteurs allant de l’agriculture aux transports en passant par l’économie numérique, la pêche ou encore l’énergie.

Toute une équipe se charge de l’encadrement, ingénieurs, banquiers, analystes financiers, économistes sont chargés de vérifier la viabilité des projets, ils répondent aux demandes, font passer des entretiens et vont sur le terrain pour déclencher des financements.

Sur 360 000 demandes en quatre mois 183 017 ont pu bénéficier d’un accompagnement et d’un financement. 70% des bénéficiaires étaient des femmes et une équité territoriale a été respectée, 549 communes sur 552 ont été concernées et plus de 65 000 comptes bancaires ont été ouverts.

D’autres actions en faveur des start-up verront le jour prochainement, dont un « start-up act  » qui sortira en octobre prochain, à travers duquel le Sénégal pourra faciliter les questions financières pour les start-up, les minimum forfétaires d’imposition seront baissés ou supprimés et une grâce fiscale de trois à cinq ans leur sera accordé, pour leur permettre de se développer et les incipter à exporter.

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